Une minuscule fenêtre ouverte sur les toits déjà surchauffés apporte un semblant de fraîcheur Arrivée depuis peu dans la capitale j’ai,
voyance par mail gratuite, du mal à m’acclimater Où qu’il se porte mon regard est emprisonné entre les vitrines des magasins et les façades inertes, figées, sans parler des couloirs du métro Le ciel ? il faut marcher le nez en l’air pour l’apercevoir ce qui n’est pas sans risque.